l'eloge de la torture

limer et scier les rotules, puit visser des grosses vis dedans. Apres tu lime les tendons et enfin t'arraches à la pince.

(mais je te previens, ils s'evanouissent avant la fin en general)

c'est parti en plus il vas également se faire mal en voulant serrer les dents

t'as tout compris

j'apprend vite ^^

oui c'est vrai mais bon je suis un chevalier du mal a lors c'est normal ^^

moi je suis un chevalier du bien par contre


PS: petit edit pour te signaler que si tu veux vaiment t'amuser, quand tu perce les rotules à la chignole essaye de percer les poches de synovie

comme ca l'articulation n'est plus lubrifier donc si tu t'amuse à faire bouger la rotule, elle va frotter contre les os de la jambe, une sensation que l'ont sait tous insuportable. Et surtout n'oublis pas d'etre lent quand tu arrache la rotulle, qu'il sente bien les tendons se dechirrer. (si tu les as bien limé mais pas entierement, avec petite lime à metaux donc à dents biens fines pour que ca dure plus longtemps.)

oui la lime à méteaux de poche j'ai donc c'est nikel et je vais faire ca alors en plus j'ai pas eu le temps de l'attaquer avant ce soir donc parfait excellent timing

tiens moi au courant

ca donne quoi ?

je me suis attaqué au premier genoux mais je me suis loupé sur le ligament alors je me suis arrété et je reprend demain pour le deuxième

tu t'es raté ? t'as arraché trop vite je pari faute classique, on lime croyant que ca va aller et en un rien de temps on a deja tout coupé, y'as plus qu'à enlever ce quei pend

oui voila c'est ca

ce soir je fait l'autre genoux avec plus de minuci

ta fini

bon et alors plus personne n'a envie de parler de torture ?

moi j'ai écartellé un gars mai je sais pas comment le continué

si il est totalement ecartelé y'a plus rien à faire

--> t'as cassé ton jouet mon pauvre ioda

Aujourd'hui etant particulierement enervé je vais faire un article special sur un instrument que j'aimerai faire tester à certains:

LA ROUE

wikipedia a écrit:

On attachait le condamné à une roue chargée de pics acérés et on installait une autre rangée de pics par terre. Ensuite on faisait tourner la roue, et le ventre ou le dos de la personne étaient écorchés.

Utilisé en Europe à partir du XVIe siècle, le supplice de la roue différait de la description ci-dessus : le condamné était attaché sur une croix de Saint-André pourvue d'encoches sur la longueur. À ces endroits, le bourreau frappait les membres avec une barre de fer pour les briser. Puis il défonçait la poitrine d'un grand coup. Il attachait alors le supplicié, bras et jambes repliés sous lui, sur une roue montée sur un essieu et le laissait ainsi exposé jusqu'à ce que mort s'en suive. Ce fut, notamment, le supplice réservé aux brigands, dont un exemple peut être Louis Mandrin en 1755.

C'est mimi tout plein n'est ce pas. Mais dans le detail c'est bien plus atrayant.

Le supplice commencait comme tous les autres par l'arrivée du condamner entouré de gardes qui traverse une foule elle même ceinturée de soldats. (beaucoup pensent que c'est pas eviter qu'on ne libere le prisonnier, c'est faux, c'est un moyen de s'assurer qu'il sera tuer selon le mode choisi par celui qui à demandé l'execution et non par un linchage collectif) Le supplicié arrive donc arrosé d'insultes et de crachats et autres pierres qui trainent comme par hasard sur la place ou le parvis de la cathedrale où rien ne peut justifier qu'elle y soit.

L'homme monte donc sur la scene, et est acceuilli par le bourreau cagoulé. Rectifions encore une detail si il porte une cagoule ce n'est pas pour proteger sa famille (ce sont souvent des orphelins) mais surtout pour eviter qu'il ne rejetté ou soudoyé par la population. Les bourreux sont en generla des gens doux, mais qui aiment les choses bien faite qu'on leur as appris à faire. C'est par l'admiration collective qu'il est convaincu d'avoir la plus noble des places.

Il prend ainsi en charge son nouvel dossier.Il s'avance sur le promontoire et presente le mode d'admiistartion de la sentence à la foule: Une roue fixée horizontalement sur un essieu pour qu'elle puisse rouler. Il le alors fixe sur cette grande roue de carrosse, une roue arriere pour les connaisseurs . Apres les modes de fixations restent divers et variés et fonction des habitudes du bourreau: une cordes, des clous de charpente ...

Il lance enfin la roue. Certaines regions plus fortunée ont même un systeme pour faire rouler la roue d'elle même. Plus simple puisque le supplice dure des heures, le bourreau n'a ainsi pas à relancer regulierement. Le condamné est souvent face au ciel, pour qu'il puisse implorer le pardon de Dieu et surtout pour que le bourreau voit ou il en est ^^

LE supplice qui s'en suit est tres simple donc il n'y a pas de quoi faire des paragraphes: Il se saise d'un barre de fer ou tout autre oblet contondant et brise uns à uns les membres du condamné, sans jamais toucher à la tête. Et oui faut assurer le spectacle donc si il est assomé il ne gaint plus. La mort vien par emoragie interne le plus souvent, ou par la perte du sang si le bourreau à frapper trop fort les fois suivantes et à ainsi ouvert la victime ou arracher des membres, d'où la longueur du supplice.





Je souligne que ce supplice est une specialité francaise connue est reconnue, et qu'elle a été tres appreciée par les populations qui y ont vu un spectacle pouant occupé toute une journée en hiver. Pour le detail, presque chaque coup de barre etait accompagné d'aplaudissement de la foule.

je pourrai être le bourreau XD

je dois me venger

te venger de qui ?

maitre ioda XD

je sais pas si il se souvient mais il la attaquer 6 fois XD

tas aucune chance, oublis ca et monte tes stats pour te venger plus tard

t'inquiète sa avance XS

mais mes pigeon dépense tout leur sous ^^

Apres un petit coup d'oeil autour de moi, j'ai decidé de faire un arcticle sur un sujet à la mode

LE SUICIDE


Ne le prennez pas mal c'est purement à but informatif et dans le but de vous eviter le pire. Je vais pour cela lister des methodes et vous dire en quoi elle sont bonnes ou mauvaise.
(Pour quelqu'un qui veut mourir vite, vivre 50 ans dans un fauteil roulant à l'etat de legume n'est pas vraiment interressant je pense)


s'ouvrir les veines: La plus pubert ^^
Stupidité absolue de jeunes naïfs qui pensent etre seul au monde. La mort souhaitée est celle par émoragie, la réelle n'existe presque jamais puisque quelqu'un debarque et intervient mais parfois malgrés cela, la mort vient du manque d'alimentation du cerveau.

Asphyxie: la plus dure
L'idée est pourtant simple mourir par manque d'air. La seule chose souvent negligée et l'aptitude de notre corps à adopter automatiquement des gestes reflexs. Ainsi si c'est un moyen plutot assuré de reussir, il faut penser à mettre le mechanisme d'asphyxie hors de sa propre portée.

noyade: moyen radical et rapide mais pas donné à tous
Mourir noyé suppose de rester suffisament longtemps sous l'eau pour y inspirer de l'eau au lieu de l'air. Le lest fait un peu mafieu, mais il est bien utile contre la tendance d'un corps à remonter à la surface et les reflexes insoupsonnés de nageur.

medicaments: pour ceux qui ne savent pas quoi faire de leur argent
Une methode trés elitiste qui demande de connaitre un minimum les produits et les posologies pour bien etre dans une dose mortelle.

accident de voiture:
On vous dis souvent que les voitures causent des milliers de morts sur nos routes. MAIS STOP, la plupart des accidents grave debouchent sur une vie en clinique de réeducation. Donc à eviter.

Défenéstration sauter de 8 etages c'est bien, de 15 c'est mieu
Trés mediatisées car plutot traumatisante pour l'entourager elle met en jeu bien trop de paramétres (densité, texture et nature de sol, vents, poid de suicidaire...) A part sur Beton à partir de 7 ou 8 mettre, vous risquer de gacher une vie qui vous semble deja bien fade en perdant l'usage de vos membres et non la vie.
(pour info je connais quelqu'un qui a fais une chute en parapente de 30m il est encore vivant)

la pendaison le best for ever
Voila un moyen d'en finir vite, proprement, à coup quasi sur et de marquer les esprits. Une bonne corde, sur tabourets pour ne pas pouvoir revenir en arrirère et tout sera bon. Attention quand même à prendre une bonne corde, se deplacer une cervicale avant de s'ecraser au sol serait plutot dommage.



Mais noubliez jamais que reflechir à ce qui vous semble une montagne de souci aide bien plus que d'agir aussitot. Si vous voulez appeler à l'aide ne pensez pas suicide, certe on fera attention à vous mais on vaux placera en clinique ou chez un psy

il était une fois un mal qui prend aux tripes. Un mal qui bien que destructeur est recherché par chacun, et très répandue sur cette belle planète. Un moyen de vous faire péter les plombs, de vous donner des envies de meurtre ou de suicide. Un mal si profond et invisible qu'on ne peut rien contre lui.

Il peut tuer à volonté, ou laisser à l'état léthargique le plus fort des hommes. Toujours bien dosé par ses bourreaux il arrive sans problème à déstabiliser. Une fois atteint, plein de questions arrivent, vous envahissent telles les araignées prenant possession du crâne dans Spleen de Baudelaire. Une armada invincible vous contraignant à la souffrance psychique. Une puissant colossale qui vous plaque au sol vous imposant une remise en question et une analyse urgente de vos défauts même les plus enfouis. Telle une lame elle penetre en vous et détruit tout sur son passage, ne laissant plus passer que des larmes. Peux à peux votre âme se vide, le corps se fait faible, les jambes ont peine à le tenir. L'esprit revient au noir originel. A jamais on est alors marqué par cette douleur.

Et pourtant après une telle souffrance on retourne vers la source de tant de douleur pour se consoler. Recommençant à profiter des bons moment, l'attention portée, l'envie de faire plaisir, oubliant comment cela finira. L'échéance inéluctable qui nous enfoncera encore un peu plus, jusqu'à peu être pour moi me pousser à suivre le model paternel ...


(si vous me connaissaient suffisamment vous savez de quoi je parle)

J'ai découvert un nouveau truc je sis certain que vous allez aimer:

découpe des oreilles au peigne